les grands voiliers
Subtitle: du xv au xx siecle
Author: g. b. rubin de cervin – etienne taillemite – b. w. bathe
Publisher: edita s.a.
ISBN: LDM1684938813
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Description
Raro esemplare della prima edizione di Edita del 1967 in ottimo stato di conservazione. In-4, legatura editoriale con copertina rigida telata azzurra, con impressioni nere al piatto anteriore e al dorso; con sovraccoperta in carta plastificata (logora al dorso e ai tagli e ingiallita in quarta) illustrata a colori con alette (particolarmente ingiallite ai bordi); risguardi grigi; 276 pp. (erroneamente indicate in 284 dall’editore all’aletta anteriore, contando anche le copertine e i risguardi; in carta grigia tutte quelle riferite ai contributi di altri collaboratori, alcune anche apribili), con 268 illustrazioni a colori e in nero nel testo.
Direzione di Joseph Jobé.
Con la collaborazione di Jean Merrien, Anders Franzén, E. W. Petrejus, R. J. Collins, Ph. K. Lundeberg, F. Le Biboul, R. H. Burgess e H. Grubbe.
Dall’aletta anteriore: Pendant cinq siècles, les voiliers ont fait la ronde autour du monde. Avant le premier tour du monde de l’expédition de Magellan, Christophe Colomb avait déjà accompli un premier exploit: traverser l’Atlantique sur une coquille de noix. En effet la Santa Maria, pour transporter ses 52 hommes d’équipage, n’avait probablement que 8 m de large, une vingtaine de mètres de long, et quelque 300 m² de voilure. Ce voyage dura 70 jours jusqu’à l’aube du 12 octobre 1492, quand Rodrigo de Triana cria Terre! empochant du meme coup les 10.000 maravédis promis à celui qui pousserait le premier ce cri tant attendu.
En 1910, le Preussen le seul cinq-mats carré jamais construit, transportait une cargaison de 8000 tonnes: son équipage était de 48 hommes pour une surface de 5560 m² de voilure. Il lui fallut 77 jours pour aller de Cuxhaven (Allemagne) à Taltal (Chili septentrional) en passant per le redoutable cap Horn. Ces chiffres comparés à ceux de la Santa Maria marquent bien les progrès accomplis.
Ainsi ce qui était à la fin du XV siècle folle aventure et chance insigne était devenu banal et quotidien à force d’endurance, de ténacité et de défis sans cesse renouvelés: pour l’acquisition progressive de la science de la navigation, pou la construction de navires toujours plus grands, plus marins, plus rapides, pour la préservation des équipages contre la faim et les maladies.
Grace aux voiliers, aux capitaines et à leurs équipages, les géographes dessinérent la carte des continents, les marchands créèrent les grands courants commerciaux, les grandes nations maritimes batirent des empires à la dimension de la planète.
Par le texte comme par l’image, ce livre fait revivre cette aventure qui dura cinq siècles.